Sujet 2
Chapitre 3 : L'attaque des templiersNew York, planque des assassins. 2010.-Maître ! Ils nous ont trouvés !
-Merde ! Il faut que huit d'entre nous partent pour allez mettre Desmond en sécurité. Si jamais ils le trouvent, ce sera une catastrophe...
-Et vous maître?
-Je reste ici ! Je ne suis pas un traître, contrairement à mon ancêtre.
Derrière la porte, on entendant vaguement ce que disait nos ennemis. Puis tout à coup, la porte explosa et des tirs se firent entendre.
-Assassins ! N'oubliez pas ! Rien n'est vrai, tout est permis !
A côté de moi, mes compagnons se défendait tant bien que mal. Nous étions pauvre et nous n'avions pas le même armement que les templiers. Je venais d'esquiver une rafale qui aurait pu m'être mortelle pour ensuite courir tout droit vers l'ennemi. Les premiers cris retentirent. Ils venaient du côté des assassins...
J'étais juste devant eux. J'avais réussit à en tuer deux avec ma lame secrète, et je continuais à tirer les balles qui restait sur mon arme ridicule. De nouveaux cris, toujours de plus en plus fort. Un des ennemis me donna un coup de crosse. Je m'écroulai sur le sol. Il me visa et se prépara à tirer quand son supérieur arrêta son geste.
-Il nous les faut vivants idiot !
Les tirs cessèrent petit à petit. Des corps sanglants gisaient sur le sol. Il restait une bonne dizaine d'assassins vivants, dont moi. Un des hommes s'approcha de moi. Je lui crachai au visage.
-Même à moitié mort tu nous manque de respect. Tu vas le regretter. Je te le promet.
Je reçus un coup de pied dans le crâne. Puis le noir totale.
Abstergo, laboratoire expérimentale. 2010.-Réveillez-le.
Une sensation de fraicheur m'envahit. J'ouvris les yeux en grand pour découvrir un homme me présentant un sceau d'eau vide.
-Bonjour Jack.
-Vi..Vidic?
-Lui même.
J'étais dans une chambre minuscule. Devant moi se tenait Vidic et deux autres hommes. Je regardai de gauche à droite pour voir si mes compagnons étaient avec moi. Rien.
-Les survivants sont dans une autre salle. Toi, tu vas avoir à un traitement de faveur, mon cher ami.
-Je n'en ai pas vraiment envie.
-Ahah ! Mais si, tu vas enfin pouvoir fusionner avec ton ancêtre...
Les deux autres hommes me saisirent et me transportèrent dans une grande salle. Une machine en forme de lit se tenait au centre.
-Voici le projet #9, l'Animus 1.0. Nous savons qui est ton ancêtre, et il va pouvoir nous fournir les informations dont on a besoin...
-Vous croyez vraiment que je vais coopérer?
-Vous n'avez pas vraiment le choix...
Une porte s'ouvrit et mes compagnons en sortirent.
-Tu veux les voir mourir?
-...Qu'est-ce que vous attendez de moi?
-Oh, c'est tout simple. Allonge-toi et détend-toi...
Les deux hommes me déposèrent violemment sur le lit. Une jeune femme pianotait sur un clavier.
-Lucy.
-Oui monsieur.
Un écran glissa et s'alluma devant mes yeux. Puis une voix robotique se fit entendre.
-Recherche d'un ancêtre compatible.
Sur l'écran, un chargement apparu. Quand la barre fut remplie, le visage d'un vieille homme se profila à l'écran.
-Ancêtre trouvé. Début de synchronisation.
Je ne comprenais pas trop ce qui se passait. Des chiffres défilaient à l'écran.
-Synchronisation 60%. Synchronisation 80%.
Vidic me regardait en riant.
-Synchronisation 100%.
Masyaf, repaire des assassins. 1191.J'étais dans la bibliothèque. Altaïr n'étais pas dans mes pattes et j'avais ce que je voulais... Sur la table se trouvais une petite boite. Je l'ouvris et en pris le contenu. C'était un globe qui scintillait: l'Orbe d'Eden. Enfin entre mes mains ! Je descendis les escaliers me retrouvai face à des dizaines et des dizaines d'assassins.
-Mes disciples ! Je vais vous guider vers le chemin de la lumière ! Malheureusement, un des nôtres nous à trahis. Altaïr doit mourir ! Quand il reviendra, je vous ordonne de le tuer !
L'orbe d'Eden faisait son travail: ils étaient tous hypnotisés.
-Oui, Maître Al Mualim.
Une fois à l'intérieur, j'étais moi aussi impressionné par le pouvoir de cette artefact. Et d'après la légende, ce n'était pas le seul. Il y en avait d'autre ! Et celui là faisait office de carte, pouvant m'aider à repérer tous ceux qui reste ! Il étais temps. J'appuyai sur l'orbe, et une projection en sortit.
Désynchronisation.
Abstergo, laboratoire expérimentale. 2010.-Que se passe-t-il ! Nous étions proche du but ! La carte s'était allumer !
-Le sujet à fait un rejet ! Il est sur le point d'y passer !
-Comment ça un rejet ! Cette machine fonctionne parfaitement !
Je m'étais réveillé et je crachais du sang.
-Vite, les premiers secours ! On ne peut pas se permettre de perdre ce sujet !
Des hommes vêtus de blanc arrivèrent de toutes parts.
-Injection d'adrénaline. VITE !
Une piqûre. Je ne ressentais plus rien de toutes façons.
-Merde ! On est en train de le perdre !
Sur ma droite se tenait un écran. La ligne commençait à de devenir de moins en moins régulière.
-Décharge. 80. Allez !
Je fermai les yeux. La ligne était horizontale...